L’imparfait

Автор работы: Пользователь скрыл имя, 21 Марта 2013 в 01:01, реферат

Описание работы

L’imparfait est un temps qui exprime le passé. C’est un temps qui exprime une durée indéfinie et qui nous sert à expliquer le décor de l’action, la répétition dans le passé, etc.
Pour la plupart des verbes, le radical de l’imparfait est la première personne du pluriel (nous) du présent de l’indicatif.
L’imparfait de répétition et d’habitude d’accompangne généralement d’un complement circonstanciel de temp : parfois, chaque fois, souvent, toujours, etc.

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I.  L’IMPARFAIT

FORMATION

L’imparfait est un temps qui exprime le passé. C’est un temps qui  exprime une durée indéfinie et qui nous sert à expliquer le décor de l’action, la répétition dans le passé, etc.

Pour la plupart des verbes, le radical de l’imparfait est la première personne du pluriel (nous) du présent de l’indicatif.

L’imparfait de répétition et d’habitude d’accompangne généralement d’un complement circonstanciel de temp : parfois, chaque fois, souvent, toujours, etc.

Les terminaisons sont :

Je -ais

Tu -ais

Il/Elle/On -ait

Nous -ions

Vous -iez

Ils/Elles -aient

Attention ! Il y a des exceptions :

Etre                                        

J’étais

Tu étais

Il, elle, on était

Nous étions

Vous étiez

Ils, elles étaient

 

EMPLOI

  • Pour décrire des actions habituelles du passé.

C'était un homme qui buvait beaucoup, mais qui était gentil et avec lequel nous avions fait, mon père et moi, des dîners mémorables.(page 15)

 

2

  • Pour décrire le décor d’une action, faire des commentaires, des explications, etc

 

Je passais une heure à faire des hypothèses.(page 13)

 

  • Pour exprimer l’hypothèse avec la conjonction si.

que si je l'avais mise en pratique...(page 18)

 

L’imparfait de répétition et d’habitude d’accompangne généralement d’un complement circonstanciel de temp : parfois, chaque fois, souvent, toujours, etc.

 

 

 

L’imparfait peut expirmer la simultanéité de deux ou plusieurs actions au passé. Deux cas se présentent :

1. Deux ou plusieurs actions passées d’une durée indéterminée se déroulent. Toutes les actions sont exprimées par l’imparfait.

Je ne manquais jamais mon coup; car quand nous voyions Cyril et Elsa ensemble, témoignant ouvertement de liens imaginaires...(page 103)

2. Une action passée d’une durée indéterminée est en train de se derouler servant de fond à une action passée momentanée. Dans ce cas la première action est exprimée par l’imparfait, la seconde par le passé composé ou le passé simple

Nous avions loué la villa pour deux mois, mais je savais que dès l'arrivée d'Anne la détente complète ne serait plus possible.(page 10)

 

 

 

 

 

 

 

3

 

II. LES EXAMPLES

Les propositions

Page

1

Je ne la connaissais pas, elle, mais l'ennui, le regret, plus rarement le remords.

4

2

Nous passions des heures sur la plage, écrasés de chaleur, prenant peu à peu une couleur saine et dorée, à  l'exception d'Elsa qui rougissait et pelait dans d'affreuses souffrances.

5

3

Il longeait la côte sur un petit bateau à  voile et chavira devant notre crique.

6

4

Cyril, qu'il était étudiant en droit et passait ses vacances avec sa mère, dans une villa voisine.

6

5

Il avait un visage de Latin, très brun, très ouvert, avec quelque chose d'équilibré, de protecteur, qui me plut

6

6

Nous étions trop tranquilles, cela ne pouvait durer!

7

7

Anne ne devait pas arriver avant une semaine.

10

8

Je profitais de ces derniers jours de vraies vacances

10

9

Ce visage que j'avais toujours vu si calme, si maître de lui, ainsi livré à tous mes étonnements...

13

10

Il souriait

13

11

Je pensai qu'il était très possible qu'Anne l'aimât, que n'importe qui l'aimât.

14

12

Je ne pouvais l’être, car Anne n’etait pas malveillante

15

13

Je la sentais trop complètement indifférente, ses jugements n'avaient pas cette précision, ce côté aigu de la méchanceté.

15

14

Ils n'en étaient que plus accablants.

15

15

Il se bornait à ne pas me les cacher, plus exactement: à ne rien me dire de convenable et de faux pour justifier la fréquence des déjeuners de telle amie à la maison ou son installation complète...

17

16

C'était ma faute

20

17

J'étais déjà dans le canot

20

18

...vous étiez au lit jusqu'à midi.

22

19

Sa cigarette fumait au bout de ses doigts.

25

20

Elle avait tout de suite vu la plaisanterie de mauvais goût

26

21

Elle avait un visage volontairement calme et détendu qui m'émut.

26

22

Ma tranquillité reposait sur cette idée stupide qu'ils se connaissaient depuis quinze ans et que s'ils avaient dû  s'aimer, ils auraient commencé plus tôt.

27

23

Ne savais-je pas cependant qu'Anne n'était pas une femme que l'on pût abandonner ainsi?

27

24

Elle ne semblait même pas remarquer les trompettes déchaînées de la radio.

32

25

Je me sentais déjà hors de la course devant un spectacle où je ne pouvais plus intervenir

32

26

Elle était pitoyable

33

27

L'indignation me faisait trembler, je ne trouvais plus mes mots.

34

28

Elle me regardait sans répondre

35

29

Mon père et Anne se trouvaient déjà sur la terrasse, assis l'un près de l'autre devant le plateau du petit déjeuner.

37

30

J'étais trop fatiguée pour le supporter longtemps.

37

31

J’avais un peur de vous..

39

32

J'étais trop fatiguée pour le supporter longtemps.

39

33

Il s'asseyait auprès d'Anne, posait son bras autour de ses épaules

40

34

Nous faisions du bateau ensemble, nous nous embrassions au gré de nos envies et parfois, tandis qu'il pressait sa bouche sur la mienne, je revoyais le visage d'Anne, son visage doucement meurtri du matin, l'espèce de lenteur, de nonchalance heureuse que l'amour donnait à ses gestes, et je l'enviais.

41

35

Cyril tirait le bateau sur le sable.

42

36

Il me rattrapait régulièrement avant la maison, s'abattait sur moi en criant victoire, me roulait dans les aiguilles de pins, me ligotait, m'embrassait.

42

37

Anne me fixait, avec ce même air grave et détaché  comme si elle pensait à autre chose.

42

38

Elle me parlait debout en me fixant et j'étais horriblement ennuyée.

43

39

Car elle nous rendrait heureux; je sentais bien avec quelle facilité nous, instables, nous céderions à cet attrait des cadres, de l'irresponsabilité.

46

40

Elle était beaucoup trop efficace.

46

41

Je n'en souffrirais même pas: elle agirait par l'intelligence, l'ironie, la douceur, je n'étais pas-capable de lui résister; dans six mois, je n'en aurais même plus envie.

47

42

J'acquérais une conscience plus attentive des autres, de moi-même.

49

43

Je passais par toutes les affres de l'introspection sans, pour cela, me réconcilier avec moi-même

49

44

Anne s'approchait.

51

45

D'ailleurs, il lui suffirait de travailler vraiment au lieu de tourner en rond dans sa chambre

52

46

Vous qui étiez si contente et si agitée, vous qui n'avez pas de tête, vous devenez cérébrale et triste.

53

47

Ne vous compliquez pas la vie

53

48

Deux jours passèrent: je tournais en rond, je m'épuisais

54

49

Je ne pouvais me libérer de cette hantise: Anne allait saccager notre existence.

54

50

Une brusque envie de rire me prenait à la gorge

56

51

Mes mains tremblaient.

57

52

Il ne fallait pas la laisser réfléchir et déduire qu'après tout, c'était de son âge et qu'il ne pouvait passer sa vie avec des demi-mondaines.

57

53

Je vous attendais

57

54

Un jour, j'aimerais quelqu'un passionnément…

61

55

…et je chercherais un chemin vers lui, ainsi, avec précaution, avec douceur, la main tremblante...

61

56

Nous échangions des idées saugrenues, nous riions aux éclats.

62

57

Anne riait aussi mais moins fort, avec une sorte d'indulgence.

62

58

Mais mon père était si manifestement heureux de ce que nous nous retrouvions avec nos plaisanteries stupides, qu'elle ne disait rien.

62

59

je connaissais en fait de réveil pénible

62

60

Cela me flattait de les voir attentifs à mes paroles…

65

61

ils avaient dix ans de plus que moi et ils n'avaient pas d'idée…

65

62

Il parlait à voix basse.

65

63

Je me demandais si mes calculs étaient justes

66

64

J'ouvris les yeux: elle penchait sur moi un regard inquiet, presque suppliant.

68

65

Car nous les rencontrions partout: dans le bois de pins, dans le village, sur la route.

69

66

Anne me jetait un coup d'œil, me parlait d'autre chose, posait sa main sur mon épaule pour me réconforter.

69

67

Cela me prouvait son attachement pour Anne et me vexait quelque peu en démontrant aussi l'inanité de mes plans.

70

68

Un jour, nous rentrions à la poste

70

69

l'après-midi je montais dans ma chambre, soi-disant pour y travailler

71

70

J'avais l'impression qu'elle m'en estimait et il m'arrivait dé citer Kant à table, ce qui désespérait visiblement mon père.

71

71

Que vous ne travailliez pas et fassiez le pantin devant la glace, c'est votre affaire

72

72

Je ne sais pas si c'était de l'amour que j'avais pour lui en ce moment

74

73

Anne lisait

74

74

je serrais les paupières de peur qu'elle ne vît mon regard.

75

75

comme si elle renonçait à toute question

75

76

Anne ne tolérait pas les compromissions

76

77

Rien ne la poussait à ce rôle de tuteur

76

78

Il renversait le problème.

78

79

Tous les espoirs étaient permis.

78

80

Il me regardait, visiblement dérouté

79

81

Nous parlions de choses insignifiantes, avec gaieté

80

82

Il était dix heures et demie exactement

80

83

Cyril et Elsa dormaient

80

84

Si Anne t'entendait

81

85

Si je voulais, - commença mon père, et il s'arrêta, effrayé

81

86

Nous étions inondés, glissants de sueur

82

87

Nous riions ensemble

82

88

Nous avions le soleil et la mer

82

89

J'éprouvais, en dehors du plaisir physique et très réel que me procurait l'amour, une sorte de plaisir intellectuel à  y penser

83

90

Le principal pour lui était d'être où j'étais.

85

91

Il s'occupait de publicité théâtrale

86

92

Je ne faisais plus attention au soleil, ni même au goût du café

93

93

Si j'étais idiote, vous me répondriez de la même façon

94

94

Vous n'y pensiez pas

95

95

le connais trop pour en parler volontiers

97

96

En ce moment il souffrait, du moins il s'exaspérait

99

97

Mais je ne disais pas à Elsa de lui céder ni à Anne de m'accompagner à Nice

100

98

J'oubliais que c'était moi-même qui l'avais voulu

103

99

Anne avait une robe mauve comme les cernes sous ses yeux, comme ses yeux mêmes

105

100

Je ne l'écoutais pas

108


 

 

 

 

 

 

 

6

ФГБОУ ВПО «ВГСПУ» 
Институт иностранных языков 
Кафедра романской филологии 
 
 
 
 
 
 
Реферат на тему: 
«Imparfait» 
 
(по книге Françoise Sagan «Bonjour tristesse») 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
                                                                                                            Работу выполнила:

 Красильникова Ольга

ИИЯ ВАБ-211 
Проверила:

                                                                                                   Руднева Наталья Игоревна  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Волгоград 
2012 
 


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