Respecter les caractéristiques du discours scientifique

Автор работы: Пользователь скрыл имя, 24 Декабря 2012 в 18:44, лекция

Описание работы

TEXTE SCIENTIFIQUE (définition)
QUELQUES CARACTÉRISTIQUES LINGUISTIQUES GÉNÉRALES DU TEXTE SCIENTIFIQUE

Файлы: 1 файл

Respecter_discours_scientifique.doc

— 111.00 Кб (Скачать файл)

CENTRE D’AIDE EN FRANÇAIS – Langue et rédaction scientifique

HEC Montréal

 

 

 

 

Respecter les caractéristiques du discours scientifique

(Année universitaire 2003-2004)

 

 

 

 

  1. TEXTE SCIENTIFIQUE (définition)
  2. QUELQUES CARACTÉRISTIQUES LINGUISTIQUES GÉNÉRALES DU TEXTE SCIENTIFIQUE

 

1 Texte scientifique

Contrairement au discours littéraire, qui se distingue par sa polysémie, le discours scientifique ne peut pas s’interpréter selon différents sens ; il est caractérisé par le souci constant de l’objectivité, de la précision, de la méthode et de la rigueur intellectuelle. On y recourt essentiellement dans la communication formelle, institutionnalisée, dans le but d’informer ou de décrire (séquence textuelle de type informatif ou descriptif), de faire comprendre (séquence textuelle de type explicatif) ou encore de convaincre (séquence textuelle de type argumentatif). Le discours scientifique dit spécialisé, comme celui que constituent le mémoire et la thèse, est formulé par un chercheur, un spécialiste, à l’intention d’autres spécialistes (Leclerc, 1999).

Par ailleurs, les vérités énoncées ou les idées développées dans un texte scientifique doivent s’appuyer « sur des connaissances préalablement admises, sur des principes reconnus, sur des faits évidents. Il faut dire sur quoi nous nous basons, manifester la valeur et la pertinence de cette source et montrer en quoi elle éclaire l’énoncé en question » (Thibaudeau, 1997, p. 320). Il va sans dire que le chercheur ou la chercheuse, pour appuyer ses propos, a recours à des procédés variés : explication, justification, démonstration, réfutation, comparaison, citation de paroles et d’idées, etc.

2 Quelques caractéristiques linguistiques générales du texte scientifique

 

Les exemples ci-après sont tirés des deux textes suivants.

LAFOND, Nelson et Sylvain LANDRY (1999). « La planification des besoins matières (MRP) pour gérer les stocks du bloc opératoire : étude exploratoire », Cahier de recherche, no 99-04, Montréal, HEC Montréal.

DUCLOS, Marc (2002). La caractérisation des non-porteurs de la ceinture de sécurité au Québec dans un contexte de taux de port de 95 %, Mémoire de maîtrise, Montréal, HEC Montréal.

 

  • Types de phrases : prédominance de la phrase déclarative (par opposition aux phrases interrogatives, impératives et exclamatives)

- Emploi de la phrase déclarative pour décrire un phénomène, énoncer un fait, introduire des données chiffrées, rapporter les écrits d’un auteur, établir un rapport de cause à effet entre des faits, des évènements, des phénomènes, formuler sa thèse, exposer une thèse adverse, formuler une hypothèse, une conclusion, etc.

Ex : « Toutefois, le ministère des Transports du Québec (MTQ) (2001) rapporte que, selon les rapports d’accidents, environ 30 % des conducteurs décédés ne portaient pas leur ceinture de sécurité. » (Duclos, p. 3)

« Tous ces résultats confirment que la gestion des stocks dans les établissements de santé, et plus particulièrement au bloc opératoire, n’atteint pas les résultats escomptés. » (Lafond et Landry, p. 10)

 

- Emploi occasionnel de la phrase interrogative ; ses rares emplois sont réservés à la formulation de la question principale à laquelle le chercheur tente de répondre en faisant son travail de recherche et à certaines questions soulevées tout au long du travail.

Ex. : […] nous nous proposons, dans la présente étude, de répondre à la question suivante : Existe-t-il des différences (statistiquement significatives) entre les porteurs et les non-porteurs de la ceinture de sécurité au Québec, dans le contexte d’un taux de port observé de 95 % ? Les réponses à cette question nous permettront de déceler une typologie pouvant être reliée au non-port de la ceinture de sécurité. » (Duclos, p. 3)

« […] les principales questions et pistes de recherche liées à ces deux grands titres sont : […] Comment pourraient s’organiser la création et les processus de mise à jour des listes de préférences au sein des blocs opératoires? […] » (Lafond et Landry, p. 52)

- Emploi occasionnel de phrases impératives pour établir des liens avec le destinataire potentiel (le verbe est alors à la 1re pers. du plur.).

Ex. : « Finalement, notons que le système d’information […] » (Lafond et Landry, p. 31)

« Rappelons que, dans cette recherche, nous tentons d’identifier les caractéristiques des non-porteurs de la ceinture de sécurité au Québec et ce, dans un contexte de taux de port observé de 95 %. » (Duclos, p. 19)

- Absence de phrases exclamatives.

 

  • Tendance à la dépersonnalisation et à la distanciation de l’auteur par rapport à ses propos

- Prédominance de la 3e personne du singulier et du pluriel.

Ex. : « L’étude de l’ASHMM (1994) fournit des données qui sont plus spécifiques à nos préoccupations. Elle démontre que les stocks au bloc opératoire ne semblent pas être gérés aussi efficacement qu’ailleurs dans l’hôpital*. » (Lafond et Landry, p. 9)

* Voir aussi l’emploi de la phrase passive, p. 5.

 

« Les conclusions de cette recherche montrent que, pour les sept sources de données, le rapport R est supérieur à 1, ce qui signifie que les non-porteurs se démarquent des porteurs par le fait qu’ils sont plus impliqués dans les accidents routiers. » (Duclos, p. 9)

 

 

- Emploi du pronom on indéfini (par opposition au on employé à la place de nous).

Ex. : « Les données réparties selon les diverses spécialités sont exposées au tableau 19. On y voit clairement que […] » (Lafond et Landry, p. 31)

- Emploi de la 1re personne du pluriel (pronom nous de modestie et déterminants notre, nos), notamment dans l’introduction et la conclusion, dans les débuts de chapitres et les conclusions partielles de manière à faire des liens entre les paragraphes ou les différentes partie du travail, dans l’analyse des résultats et la discussion générale, ou encore dans les explications de la démarche méthodologique.

Ex. : « Ce mémoire comporte six parties. Nous passons en revue, dans le premier chapitre, la littérature relative à […]. Au second chapitre, nous présentons […] » (Duclos, p. 3)

« Comme nous l’avons mentionné plus haut, Evans (1986) et Hedlund (1986) ont estimé l’efficacité de la ceinture à environ 40–50 % (dans Hunter et al., 1990). (id., p. 4)

« En effet, étant donné que les individus composant notre échantillon ont été impliqués dans un accident avec au moins un blessé léger, nos résultats ne sont pas généralisables à l’ensemble de la population. » (id., p. 80)

- Absence de la 1re personne du singulier (je, me, moi).

Note : De manière générale, dans un mémoire ou une thèse, la première personne du singulier n’apparaît que dans les remerciements.

- Absence de la 2e personne (tu, te, toi, vous).

- Emploi de phrases impersonnelles.

Ex. : « Il ne suffit pas de déceler des erreurs et de les corriger […] » (Lafond et Landry, p. 16)

« En ce qui concerne la stabilité du programme opératoire, nos observations à la Sagamie nous portent à croire qu’il ne faudrait pas généraliser les résultats de l’étude de Pierre (1998). Il semble en effet que […] » (id., p. 28)

« Il est important de noter que […] » (id., p. 31)

« Il faut cependant rappeler que […] » (id., p. 43)

« Devant ces faits, il est apparu primordial aux chercheurs de […] » Duclos, p. 7)

« Il est à noter que l’unité statistique représente un accident. » (id., p. 21)

« En conclusion, il est important de rappeler que […] » (id., p. 86)

« Il existe néanmoins certaines différences […] » (id., p. 24)

Note : Le pronom impersonnel « il » est toujours de la 3e personne du singulier, comme le verbe à qui il donne son accord. Ainsi, on ne doit pas écrire : Ils existent plusieurs différences, mais Il existe plusieurs différences.

 

 

- Emploi de phrases passives sans complément introduit par la préposition par.

(par les chercheurs) (par les chercheurs)

Ex. : « Par contre, dans d’autres études, les données ont été recueillies lors d’enquêtes réalisées dans le but d’observer le taux de port dans l’État ou la province à l’étude (Hunter et al., 1990, 1993; Preusser et al., 1991; Vézina et al.,1995; Reinfurt et al., 1996). » (Duclos, p. 7)

« [L’étude] démontre que les stocks au bloc opératoire ne semblent pas être gérés aussi efficacement qu’ailleurs dans l’hôpital. » (Lafond et Landry, p. 9)

 

  • Perspective atemporelle

- Prédominance du présent de l'indicatif.

Ex. : « La réponse à nos interrogations de départ confirme que les stocks du bloc opératoire sont importants » (Lafond et Landry, 1999, p.  10)

« En 1987, la SAAQ met en place un programme d’application sélective (P.A.S.) concernant la ceinture de sécurité […] » (Duclos, p. 5)

« La définition d’un non-porteur varie d’une étude à l’autre, du fait que les données utilisées ne proviennent pas de la même source. […] certaines études utilisent des données officielles […] » (id., p. 7)

- Emploi occasionnel du passé composé et du futur, notamment dans les débuts de chapitres et les conclusions partielles de manière à faire des liens entre les paragraphes ou les différentes partie du travail.

Ex. : « Comme nous l’avons déjà mentionné à plusieurs reprises […] » (Lafond et Landry, p. 6 »

« Cette figure pourra donc servir de modèle à notre application de la planification […] » (id., p. 25)

« Comme nous l’avons mentionné dans la méthodologie, nous avons conduit deux salves d’analyses complémentaires […] » (Duclos, p. 68)

 

  • Complexité de la structure de la phrase

- Longueur moyenne de 29 mots (en français comme en anglais).

- Présence fréquente d’au moins trois verbes conjugués par phrase graphique, donc présence d’au moins deux subordonnées à verbe conjugué (sub. relative, circonstancielle ou complétive ; elles sont nommées P2 et P3 dans les exemples ci-après) ou de phrases coordonnées par et, mais, car, c’est-à-dire, c’est pourquoi, puis, etc. ou encore jointes à l’aide du deux-points ou du point virgule.

Ex. : « p1{Cet exemple nous porte à croire p2{qu’il y a effectivement un potentiel d’amélioration considérable p3{qui pourrait être atteint par le recours à des techniques de gestion des stocks plus efficaces dans le secteur de la santé} p3 } p2.} p1 » (Lafond et Landry, p. 11).

« p1{De plus, il ressort du tableau 5-4, p2{qui présente les résultats des tests t} p2, p3{que, sur une période de quatre années précédent l’accident, les conducteurs ne portant pas leur ceinture de sécurité ont commis, en moyenne, plus d’infractions au C.S.R. par rapport aux porteurs (0.9368 et 0.8866 respectivement)}p3. } p1 (Duclos, p. 73)

- Présence fréquente de plusieurs compléments du nom à l’intérieur des groupes nominaux et de compléments du nom comprenant une subordonnée relative.

Ex. : « […] un potentiel d’amélioration considérable qui pourrait être atteint par le recours à des techniques de gestion des stocks plus efficaces dans le secteur de la santé » (Lafond et Landry, p. 11).

« Ceci est notamment dû au fait que les premiers ont un taux d’implication dans les accidents plus élevé que celui des derniers. » (Duclos, p. 20)

- Emploi du participe passé employé comme un adjectif (participe-adjectif) dans le groupe du nom.

Ex. : « Une expérience menée au Tampa General Hospital » (Lafond et Landry, p. 10)

« certains bénéfices potentiels liés à l’implantation d’un système » (id., p. 10).

 

  • Souci de concision

- Emploi d'abréviations, de sigles, de langages symboliques.

Ex. : « L’implantation du système ERP SAP/PR® en novembre par la société SIBN. Un logiciel de gestion intégrée qui offre la possibilité d’utiliser un outil MRP dans sa suite de gestion des ressources matérielles » (L et L, p. 3)

« MRP au bloc opératoire du CH de la Sagamie »

Note : MRP : abréviation de l’expression originale anglaise Material Requirements Planning, en français : « planification des besoins matières » / CH : « Complexe hospitalier »

- Emploi des symboles des unités de mesure et des symboles d’unités monétaires.

Ex. : « En 1997-1998, le total des dépenses du Complexe hospitalier de la Sagamie en ce qui a trait aux fournitures médicales et chirurgicales était de 5 082 016 $, soit 4,8 % du total des dépenses globales de l’établissement (tableau 12). » (L et L. p. 26)

 

- Synthèses à l’aide de tableaux, de graphiques.

Ex. : « Afin de synthétiser l’information présentée dans cette partie, le tableau 1-2 présente les principales caractéristiques des non-porteurs retrouvées dans la littérature. » (Duclos, p. 15)

« Une enquête américaine révèle effectivement que le bloc est une unité où les stocks sont les plus élevés dans tous l’établissement de santé (ASHMM, 1994). Le tableau 3 reprend quelques-unes des données de cette étude. » (L et L, p. 6)

« La figure 2 fournit un exemple de nomenclature […] » (id. p. 15)

« La figure 3 présente les principaux liens entre les éléments mentionnés » (id. p. 17)

« En 1997-1998, le total des dépenses du Complexe hospitalier de la Sagamie en ce qui a trait aux fournitures médicales et chirurgicales était de 5 082 016 $, soit 4,8 % du total des dépenses globales de l’établissement (tableau 12). » (id. p. 26)

« Pour cette même période, les stocks globaux moyens de l’établissement atteignaient un grand total de 2 643 508 $. De ce montant, 13, 5 % étaient reliés directement au bloc opératoire. Les détails sont présentés au tableau 13. » (id. p. 27)

 

  • Souci constant de la précision et de l’objectivité dans le choix des mots

- Absence de mots vagues, peu d’expressions figées ou imagées de la langue courante.

Ex. : « C’est la nomenclature qui indique la quantité de chaque composant nécessaire à la fabrication des produits finis. » (Landry et Lafond, p. 13)

Et non : C’est la liste de mots qui indique combien il en faut pour faire des produits finis.

- Recours au sens propre des mots, au sens non connoté, et, bien sûr, au sens attesté.

Ex. : « Il explique que derrière les arguments et les informations utilisés, qui sont généralement subjectifs même s’ils sont appuyés par certains éléments quantitatifs, se cachent souvent des hypothèses de départ qui biaisent la représentation de la réalité. » ( Lafond et Landry, p. 19)

Et non : Il s’indigne que derrière les arguments et les informations utilisés, qui sont généralement subjectifs même s’ils sont supportés par certains éléments quantitatifs, se cachent souvent des faussetés.

Explication : S’indigner et faussetés ont une connotation négative ; supporter dans le sens de « appuyer » n’est pas attesté, c’est un anglicisme sémantique.

 

- Emploi des lexiques spécialisés (propres à un domaine particulier) et semi-spécialisés (rattachés à plusieurs domaines).

Ex. : « À partir d’une interface avec SAP R/3®, le programme opératoire (géré par le logiciel Opéra®) deviendrait désormais le chef d’orchestre du processus de planification des besoins matières. À l’aide des listes de préférences et des données relatives aux niveaux des stocks, le programme opératoire assumerait le rôle de pont entre les besoins chirurgicaux et la réalisation des activités du bloc opératoire. » (Lafond et Landry, p. 36)

 

  • Choix du mot juste, approprié et correct, selon la norme du français écrit standard (respect du « bon usage »)

- Absence d’anglicismes critiqués : emprunts directs à l’anglais quand un mot français existe déjà pour désigner la même réalité (ex. : réduction de taille ou redimensionnement, et non : « downsizing »), anglicismes de sens (ex. : une méthode de vente dynamique, et non : « agressive ») ou anglicismes de forme (mettre l’accent sur qqch., et non : « mettre l’emphase sur qqch. »).

- Absence d’impropriétés.

Ex. : « En ce qui concerne les bénéfices liés à l’utilisation et à la planification des besoins matières dans un contexte MRPII/ERP, il est difficile d’isoler […] » (Lafond et Landry, p. 19)

Et non : «  Au niveau des bénéfices… »

  • Respect de la syntaxe du français et de son orthographe
  • Liens entre les phrases et à l’intérieur des phrases

- Présence de mots liens au début des phrases et à l’intérieur des phrases

Ex. : « Face aux enjeux de la gestion des stocks au bloc opératoire, Blake et al (1990) suggèrent le recours aux outils informatiques pour effectuer un meilleur suivi des stocks à partir de l’utilisation de paramètres de gestion (par exemple, seuils maximums et listes de produits substituts). Cependant, de tels systèmes s’inscrivent encore dans une logique de gestion réactive. Le niveau des stocks est déterminé pour chaque article en fonction de la consommation historique moyenne et cela pour tous les points de consommation de l’hôpital. Ces systèmes sont indifférents quant au moment où se manifesteront les besoins (Showalter, 1987) ». (L et L, p. 10)

- Présence de chaînes de reprises

Ex. : « Face aux enjeux de la gestion des stocks au bloc opératoire, Blake et al (1990) suggèrent le recours aux outils informatiques pour effectuer un meilleur suivi des stocks à partir de l’utilisation de paramètres de gestion (par exemple, seuils maximums et listes de produits substituts). Cependant, de tels systèmes s’inscrivent encore dans une logique de gestion réactive. Le niveau des stocks est déterminé pour chaque article en fonction de la consommation historique moyenne et cela pour tous les points de consommation de l’hôpital. Ces systèmes sont indifférents quant au moment où se manifesteront les besoins (Showalter, 1987) ». (L et L, p. 10)

 

Bibliographie

LECLERC, Jacques. Le français scientifique : guide de rédaction et de vulgarisation, Brossard, Linguatech éditeur, 1999, 377 p.

LENOBLE-PINSON, Michèle. La rédaction scientifique, conception, rédaction, présentation, signalétique, Bruxelles, De Boeck, 1996, 152 p.

THIBAUDEAU, Victor. Logique et expression de la pensée, Montréal, Gaëtan Morin, 1997, 558 p.

 

 

Quelques ouvrages de référence à consulter

 

Sites Web

www.oqlf.gouv.qc.ca/ressources/gdt_bdl2.html

www.hec.ca/qualitecomm/chroniques/teleinfo/

www.hec.ca/qualitecomm/chroniques/lesmots/lesmots.html

www.cce.umontreal.ca

www.langueauchat.com/diffic/index_index.html

 

Ouvrages de référence disponibles à la bibliothèque Myriam et J.-Robert Ouimet

 

COHEN, Élie (2001). Dictionnaire de gestion, 3e éd., Paris, Éditions La Découverte, 415 p.

DAGENAIS, Gérard (1984). Dictionnaire des difficultés de la langue française au Canada, 2e éd., Boucherville, Éditions françaises, 538 p.

FERNAND, Sylvain (1982). Dictionnaire de la comptabilité et des disciplines connexes, 2e éd., Toronto, Institut canadien des comptables agréés, 662 p.

FOREST, Constance et Denise BOUDREAU (1998). Le Colpron : le dictionnaire des anglicismes, Laval, Beauchemin, 381 p.

GUILLOTON, Noëlle et Hélène CAJOLET-LAGANIÈRE (2000). Le français au bureau, 5e éd., Québec, Publications du Québec, 500 p.

MÉNARD, Louis (1994). Dictionnaire de la comptabilité et de la gestion financière : anglais-français avec index français-anglais, Toronto, Institut canadien des comptables agréés, 994 p.

MÉNARD, Louis et al. (2000). Vocabulaire essentiel des dérivés et autres instruments financiers, Montréal, Ordre des comptables agréés du Québec, 261 p.

VILLERS, Marie-Éva de (2003). Multidictionnaire de la langue française, 4e éd., Montréal, Québec Amérique, 1542 p. [Cédérom, 3e éd., 2001]

Информация о работе Respecter les caractéristiques du discours scientifique